Gabriel Monod Herzen
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TEMOIGNAGES

le 31/10/2010

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De Josiane Barbier

  J’ai à travers des dialogues, qui m’ont beaucoup enrichi, tissé avec Gabriel des liens privilégiés. Ces liens sont devenus plus affectifs, lorsqu’en 1980 je lui ai annoncé que j’attendais un enfant.  Après s’être réjouis pour moi, lui qui n’avait jamais eu d’enfant m’a, avec Jacqueline son épouse, accompagné tout au long de ma grossesse et a attendu Christel, comme sa petite fille.
  Il est alors devenu pour moi un Père adoptif et un guide, ce qui a transformé ma vie.
  En Août 1982, il m’a fait la joie de m’annoncer que n’ayant pas d’enfant biologique, ils faisaient le choix avec Jacqueline, de me considérer comme leur fille et donc de me choisir comme héritière, ou si ma naissance au ciel était avant les leurs, de faire ce choix pour Christel, Maëlle, Savita, ma fille.
Aujourd’hui, je souhaite lui témoigner ma reconnaissance et mon affection.
  Le 22 mai 1983, il est né au ciel et je souhaitais lui rendre hommage 25 ans après cette naissance.  Quelques difficultés ont retardés cet hommage, mais je suis très heureuse de pouvoir, enfin, avec quelques personnes qui l’ont connu et apprécié, témoigner de l’effet que sa rencontre a eu dans nos Vies.

 

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de Mariann LewinskySträul le 25/08/2011

J'ai restauré, il y a quelques années, les films de Ella Maillart, qui a connu Gabriel Monod-Herzen dans les années trentes et a passé quelques semaines dans sa maison a Caboul en automne 1939. Ils étaitent très amis et Monod-Herzen a sans doute été important pour la decision de Ella Maillart de s'installer dans un Ashram et passer la guerre en Inde.

 

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Paroles de disciple

  J'écris ces quelques mots, que je souhaite développer par la suite, pour exprimer la gratitude qui gonfle mon cœur dès que je me tourne vers Gabriel MONOD HERZEN.
  Dans cette maison de Roscoff nommée l'Athanor, dans laquelle nous nous sommes si souvent entretenus, son portrait est là, que je salue chaque matin. C'est le maître bien aimé qui est venu orienter ma vie et je lui suis reconnaissante à jamais.
  Au delà  de tout ce qu'il a pu enseigner, il a été - il est toujours - ce trésor de compassion et de finesse souriante,­ d'amour sans condition et d'humour pétillant, de rigueur concise et d'ouverture à  l'au delà  des apparences.
Je l'ai rencontré par l'alchimie et il m'a introduite au yoga que j'enseigne . Grâce à  lui j'ai rencontré ceux qui ont été mes premiers instructeurs dans la pratique: Ajit et Selvi Sharkar, qu'il a connus enfants à l'ashram de Sri Aurobindo et surtout Swami Hridayanand Mataji, mon guru indien avec laquelle il avait une belle amitié.
  Il me parlait de ses expériences passées et je crois avoir oublié  beaucoup de choses si ce n'est l'essentiel l'engagement à  vie entre maître et disciple. ­ Au fil des ans ce qui a été semé, mature et se retrouve. C'est le mystère de la transmission...
  Il a accepté de m'accompagner par ses enseignements, l'été à Perharidy et l'hiver à Paris et j'ai eu la grande joie de recevoir de lui l’Equerre et le compas de l'adepte en alchimie. Sa bibliothèque d'alchimie m'a été léguée et quelques documents, je me dis qu'il serait temps d'en faire quelque chose sans trop savoir sous quelle forme. 
 J'avais envisagé d’écrire un  livre, inspirait de « Qui est ton Maître ? », livre qui lui tenait à  cœur, poursuivant jusqu'au XXI siècle la recherche, la quête Maître, Disciple.
  Nous avions aussi le projet d'écrire un livre ensemble dont je garde la préface entièrement rédigée de sa main.
  Je le remercie infiniment et le salue mains jointes, en répétant le mantra qu'il aimait particulièrement:
  “Om Namo Bhagavate Vasudevaya”.

De Michèle Stephany Madhuri

 

 

 

 

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